Parcs
Voir toutClassique, Opéra
Voir toutLoisirs
Voir toutTop salles
- L'Accorhotels Arena
- L'Arena de Bordeaux
- La Bourse du Travail
- Le Casino de Paris
- La Cité des Congres - Grand Auditorium
- Le Grand Rex
- La Halle Tony Garnier
- La Laiterie - Strasbourg
- La Philarmonie
- La Seine Musicale
- L'Aeronef
- Le Bataclan
- Le Bikini
- Le Dôme
- Le Liberté
- Le Silo
- Le Zénith de Toulouse
- Les Folies Bergère
- L'Olympia
- Théâtre Mogador
- Stade Orange Vélodrome
- Le Palais des Congrès
- Le Palais des Sports
- Le Palais Garnier
- Le Palais Nikaia
- La Patinoire Mériadeck
- La Salle Pleyel
- Le Stade de France
- Stade Pierre Mauroy - lille
- Le summum
- Le Théâtre du Châtelet
- Le Théâtre du Palais Royal
- U Arena
- Zénith Arena de lille
- Zénith d'Auvergne - Clermont
- Zénith de Strasbourg Zénith Europe
- Zénith Nantes Métropole
- Zénith Paris - La Villette
- Zénith Rouen
- Zénith Sud - Montpellier

En quelques mots
Le Montréalais Black Atlass est doté d’une voix difficile à oublier, située quelque part à la croisée du R&B contemporain, de la production électronique expérimentale et de la chanson intimiste classique.
"Paris", son premier simple, a été salué par les mélomanes de tous horizons (« une pièce à fleur de peau teintée d’électro qui frappe en plein cœur. » - Stereogum), tout comme par les fashionistas haut de gamme, lui valant notamment les louanges de Vogue et de Louis Vuitton.
Le jeune artiste ne cesse d’attirer l’attention de gros noms de l’industrie de la musique et de la mode, de Woodkid (qui a invité Black Atlass à assurer la première partie de sa récente tournée européenne) à Dior Homme (qui a convié l’artiste à son défilé de la semaine de la mode de Paris et l’a habillé pour l’occasion).
Mais au-delà des louanges se trouve la musique : des compositions assurées dont la substance distingue Black Atlass de ses contemporains.
Cette essence particulière résonne d’un bout à l’autre du EP Young Bloods (paru le 18 février dernier sur étiquette Fool’s Gold), composé de six titres aux accords noueux et aux rythmes musclés inattendus, liés par la voix éthérée et pénétrante de Black Atlass. Du funk rassembleur de "Blossom" au boom bap digne de D’Angelo de "Free Angel", en passant par le cri primitif de la pièce de clôture "Jewels", Young Bloods marque le dernier chapitre de l’histoire d’un nouveau talent brut et électrifiant.
"Paris", son premier simple, a été salué par les mélomanes de tous horizons (« une pièce à fleur de peau teintée d’électro qui frappe en plein cœur. » - Stereogum), tout comme par les fashionistas haut de gamme, lui valant notamment les louanges de Vogue et de Louis Vuitton.
Le jeune artiste ne cesse d’attirer l’attention de gros noms de l’industrie de la musique et de la mode, de Woodkid (qui a invité Black Atlass à assurer la première partie de sa récente tournée européenne) à Dior Homme (qui a convié l’artiste à son défilé de la semaine de la mode de Paris et l’a habillé pour l’occasion).
Mais au-delà des louanges se trouve la musique : des compositions assurées dont la substance distingue Black Atlass de ses contemporains.
Cette essence particulière résonne d’un bout à l’autre du EP Young Bloods (paru le 18 février dernier sur étiquette Fool’s Gold), composé de six titres aux accords noueux et aux rythmes musclés inattendus, liés par la voix éthérée et pénétrante de Black Atlass. Du funk rassembleur de "Blossom" au boom bap digne de D’Angelo de "Free Angel", en passant par le cri primitif de la pièce de clôture "Jewels", Young Bloods marque le dernier chapitre de l’histoire d’un nouveau talent brut et électrifiant.
Publicité
Pause musicale
Publicité
Avis clients
Black Atlass
Publicité
Publicité